King de Bollywood de A. Chopra

les pauvres , ils ont souffert, mdr quand la mere de srk lui a dit quand est ce que tu as appris à conduire et il lui a repondu tout de suite il était fort meme avant qu'il soit acteur et il a conduit une voiture à l'age de 15 ans intéressant!

Le dernier livre de d'Anupama Chopra King de Bollywood : Shah Rukh Khan et le monde séduisant du cinéma indien synthétise tout ce qui ne cesse de fasciner chez cet homme et ses films.

Quand on vient aux phénomènes internationaux, il semble souvent que les Américains ont les dernières connaissances. En 2000, Shakira avait fait quatre albums et avait vendu plus de 8 millions de disques mondiaux avant que qui conque aux USA ait jette un oeil dans sa direction. On a dû aller à l'étranger réaliser ce qu'un fanatique suivant English boy band Blue revendiquait. Même aujourd'hui, Utada Hikaru est juste devenu la plus grande vente du monde numérique, et il serait probablement très difficile trouver un Américain typique qui sache qui elle est.
On parle toujours de stars internationales se livrant à un métissage culturel, que ce soit Gong Li dans Miami Vice», Aishwarya Rai dans coup de foudre à Bollywood, ou Rain faisant son premier album de langue anglaise. Mais récemment, C'est un signe de la suffisance de l'Amérique que nous supposions que toutes les stars internationales ont besoin ou désirent venir ici pour "réussir" »
Tandis que dans certains cas il pourrait y avoir une certaine vérité aux nombres, le cinéma indien (plus connu comme Bollywood) est probablement l'exemple le plus évident d'un phénomène international qui a le pouvoir et les chiffres pour contrer l'ego d'Hollywood
Le 23 juin 2007, ABC News ont raconté une histoire au sujet de Shah Rukh Khan intitulé « la plus grand star dont vous n’aurez jamais entendu parler » Quand la question de « transition » à Hollywood est soulevée, le directeur Karan Johar précise que l'assistance de Bollywood de Khan est déjà plus grande que la plupart des acteurs de Hollywood pourrait demander : « à moins qu'on donne à Shah Rukh un rôle parallèle à Tom Cruise dans un film de Hollywood, pourquoi devrait il prendre la peine de travailler là-bas ? »

Produisant plus de 800 films par an (par rapport aux approximativement 500 films par année qui fait Hollywood), Les films de Bollywood sont retranchés dans la culture indienne d'une manière dont la plupart des pays ne peuvent pas s’en vanter de leurs industries de film. Ajoutant environ 20 millions d'Indiens non-résidents à travers 110 pays plus les nombreux fans entre la Malaisie, la Pologne, l'Allemagne, l'Indonésie, l'Afrique du Sud, et le Moyen-Orient, Bollywood ne pourrait pas faire plus d'argent (les prix de film ne se comparent pas aux prix sans scrupules aux USA), mais ils vendent plus de billets autour du globe. Et le nombre de paires d'yeux forment un pouvoir assez considérable
Bien qu'il y ait eu beaucoup de livres écrits au sujet du cinéma indien, Le livre d'Anupama Chopra King de Bollywood : Shah Rukh Khan et le monde séduisant du cinéma indien est l'un des premiers livres de Bollywood pris par une importante maison d'édition américaine: dans ce cas-ci, Warner Books. S'attendant à une publication international depuis le début, Chopra a eu un défi unique : comment décrire une méga star à une assistance à un monde connaît déjà chaque détail minutieux au tour de lui, et le traduire également aux lecteurs dans une autre communauté qui ignorent complètement son existence ?
En tant qu'auteur, Chopra était tout à fait consciente de l'exercice de corde raide, et sa stratégie était de regarder au delà de l'acteur. Au lieu de se concentrer purement sur les anecdotes personnelles, Chopra a identifié la valeur d'analyser l'évolution de l'industrie de film de Bollywood par l'objectif de Shah Rukh Khan.

Que signifie-t-il avoir un superstar musulman de cinéma dans un pays qui est principalement indou ? Quel genre de changement a-t-il apporté au cinéma indien quand un personnage de yuppie mondial et charismatique façonné par des réalisateurs d'une vingtaine d'années a pris le pas sur le précédent héros, sombre, rugueux et opposé à l'ordre établi qu'Amitabh Bachchan représentait ? Pourquoi les acteurs de Bollywood dans les années 90 sont-ils allés au devant des annonces commerciales tellement librement et se sont-ils activement transformés en marques ? Comment la manière dont Shah Rukh a dirigé sa carrière influencé par les torsions et les tours de Bollywood, évoluant lui-même constamment pour adapter les nouvelles conditions de marché et du public?
En conséquence, Chopra endosse un rôle qui est pour parties égales celui de conteuse et d'expert en cinéma à travers ses nombreux entretiens avec Shah Rukh Khan et des personnes qui ont joué un rôle dans sa vie
La famille de l'auteur Anupama Chopra a beaucoup fait: marié au directeur Vidhu Vinod Chopra, soeur du directeur Tanuja Chandra et auteur Vikram Chandra, fille du scénariste Kamna Chandra. Mais Chopra est déjà une journaliste reconnue, avec vingt ans d'expérience travaillent en l'Inde et aux Etats-Unis. Elle a gagné son MA en journalisme de Medill, travaillé Harper's Bazaar, India Today, et Variety Asia, elle a écrit pour New York Times et Los Angeles Times. Elle a également écrit deux autres livres, y compris Dilwale Dulhaniya Le Jayenge (« l’amoureux prendra la mariée »).

Dans une entrevue avec Shahrukh Khan, Chopra a dit : « Un journaliste m'a demandé que, avez vous fait ce livre sur Shah Rukh Khan parce que vous êtes l’épouse de Vidhu Vinod Chopra. Quelle est la réponse appropriée? » Shah Rukh Khan plaisante « j'a fait ce livre malgré le fait que vous étiez l’épouse de Vidhu Vinod Chopra. »
Récemment, Chopra a relevé un nouveau défi journalistique : la télévision. Depuis janvier 2007 elle écrit et anime une émission de critique de films « Picture This » (Imaginez Donc + Jeu de mot intraduisible…) sur NDTV dans laquelle, chaque semaine, elle couvre les sorties de films Hindis et de Hollywood . Cette expérience lui a permis de découvrir l’étendue de l’influence de la télévision. Combinez cela avec l’univers en ligne d’aujourd’hui, avec la technologie qui facilite l’accès à l’information à l’échelle mondiale et on est au cœur de la réduction des distances et les gens commencent à prendre conscience de phénomènes mondiaux tels que Bollywood.


Aujourd’hui, des publications grand public telles que le New York Times et le Los Angeles Times font l’effort de rendre compte régulièrement du cinéma Hindi. Mais Chopra remarque que ça ne fait guère que quatre ou cinq ans que les journaux américains ont commencé à écrire sur Bollywood. « Quand je suis entrée à India Today, (l’équivalent indien de Time), en 1993, la couverture du cinéma Hindi dans les publications généralistes était encore très restreinte », dit Chopra. « C’était encore considéré comme quelque chose à ne pas prendre très au sérieux car il n’y avait qu’un genre de journalisme cinéma , qui tenait plus du journalisme sensationnel. On ne le voyait pas comme faisant partie de la culture de l’intelligentsia . »

En juillet 2005, le New York Times demanda à Chopra d’écrire un article sur l’évolution de l’héroïne de cinéma Hindi – comment elle devient de moins en moins vertueuse, selon les normes de la tradition précédente, et adopte plus souvent des comportements répréhensibles..
« Je pense que c’était une sorte d’expérience (pour le New York Times) », dit Chopra. « Mais l’article s’est retrouvé parmi les 10 articles les plus commentés par mail… C’est à ce moment là qu’ils se sont rendus compte de l’intérêt énorme que le cinéma Hindi suscite. Il ne vient peut-être pas du public américain moyen,,, mais il y a un public mondial qui adore ces films. C’est arrivé avec assez régulièrement pour les articles que j’ai écrit. »
Peut-être est-il temps pour les consommateurs moyens de retirer leurs œillères nationales et de regarder au delà des bons vieux sentiers battus américains. Une des raisons pour lesquelles Anupama Chopra a choisi Shah Rukh Khan comme sujet de son livre à portée internationale (par opposition à Amithab Bachchan) est l’attraction mondiale qu’il est seul à exercer. Un point sur lequel Chopra insiste dans Roi de Bollywood est que le personnage que Shah Rukh Khan montre aux masses est celui d’un séducteur toujours confiant et charismatique aussi à l’aise dans la culture indienne qu’occidentale. Il est donc tout à fait normal qu’une étude Neilsen EDI de 2003 montre que 7 des 10 premiers films Hindi au Royaume Uni à partir de 1989 aient Shah Rukh Khan pour vedette. Chopra, et d’autres dans l’industrie cinématographique Hindi, compte sur sa capacité à atteindre au delà de la communauté indienne par son charme et son amabilité. Voilà un homme qui s’est tiré par le charme des griffes d’Abu Salem, un chef de la mafia qui avait jeté son dévolu sur Khan à la fin des années 90. (Mais c’est une toute autre histoire. Lisez le chapitre 14, Gangsters et Films)

En plus du travail perpétuel (après Chak De India), Khan s’est aussi lancé également dans la production et a installé un studio d'effets spécial appelé Red Chillies pour poursuivre sa passion pour la science-fiction. Malgré la nouvelle concurrence (Hrithik Roshan) et bien que bientôt Khan ne pourrait pas sortir de Hollywood n'importe quand -- « Quand je débarque à Los Angeles, Steven [Spielberg] n'est jamais là, » il déplore en plaisantant dans l'entrevue de Chopra.
Comme le choix de Chopra d'en faire la métaphore et la quintessence de la fluidité moderne du cinéma indien, au bout du compte, Shah Rukh Khan - tout comme l'industrie du film Bollywood dans son ensemble- a encore à faire un film qui ait un impact mondial indéniable

Date Posted: 8/24/2007
source: UCLA Asia Institute / asiaarts.ucla.edu

Ce livre arrive à un moment ironique. Sa thèse est que Khan, représente une Nouvelle Inde, sur d'elle et global; incarne toujours le lover boy qui chante et qui danse. Cela a changé dans son dernier film, Chak de India. Si d'habitude Khan est frivole et confiant, ici il est sérieux, avec des remords, des doutes, sans aucune héroïne a courtiser. s'habille comme n'importe quelle autre personne ; ce n'est pas un film star, il n'est même pas comme il est dans d'autres films .
Cela ne devrait pas être important,,sauf qu'Anupama Chopra, l'auteur de cette biographie, a construit son livre entier autour de cette thèse. « Shah Rukh Khan est venu pour incarner les aspirations et les contradictions d'une culture compliquée dégringolant la tête la première dans le capitalisme d'Américain-modèle », indique le texte de présentation sur le dos du livre. Dans le livre lui-même, elle précise que les tentatives occasionnelles de Khan de se détacher de son image romantique avaient échoué. Alors, ce film, où tout repose sur sa tête, arrive.
Ce n'est pas la faute d'Anupama Chopra bien sûr, mais cela montre le danger d'une sociologie de bruit. Il y a eu une tendance à interpréter les acteurs, basés sur leur interprétation à l'écran, comme symboles d'une ère : Le style vigilant d'Amitabh Bachchan en tant que Vijay dans Zanjeer et Deewar a apparemment personnifié la frustration des Indiens ;Dilip Kumar était le héros de Nehruvian, et maintenant Khan, l'auteur nous indique qu'il est le visage de la post libération de l'Inde, essayant de réconcilier les traditions indiennes avec la modernité en approche.
Les métaphores cependant ont l'habitude de se casser la figure.,était un fichu bon héros romantique et au même tant était connu comme un homme commun.
Même ce jeune homme fâché avait des sérieux défauts.Dans Deewar, par exemple, il était un contrebandier, à peine un modèle de rôle. De même, toutes les caractéristiques attribuées à Khan peuvent facilement être appliquées à ses pairs : Aamir Khan est un héros musulman dans un pays Indou et ce qui est plus, approuve heureusement des marques de MNC. Ce qui place Khan dans un statut à part, du fait qu'il n'appartenait pas à une famille de cinéma, comme les autres héros.

Le plus grand défaut de cet argument et faire de Khan le visage d'un conflit culturel dont la nation intervient.La tradition contre la modernité est un cliché que les auteurs, les journalistes et les sociologues aiment. Mais, dans le cas de l'Inde, ce n'est pas quelque chose de nouveau. Regardez les films des années 60, où la nouvelle génération rejette les valeurs des parents et adopte un style de vie occidentale.
Pourquoi, dans Waqt un des premiers films deYash Chopra - qui, avec son fils Aditya, est crédité d'avoir créé l'image de Khan - l'ambiance entière est occidental, avec les voitures rapides, mélange libre des sexes, avec des fêtes ou des verres de cocktails et des pianos vont à la paire. En fait, ce qui a changé en dépit que l'Inde est entrée apparemment dans une communauté globale, et que nous avons réagi aux traditions plus que jamais.

Dans la génération précédente, les jeunes urbains dans les films étrangers prenaient leurs propres décisions, Raj-Rahul de Khan cour vers sa maman et n’epousera pas la fille si le papa ne dit pas oui. C'est en fait le plus grand changement de notre temps, que Chopra documente mais n'analyse pas.
On commence à suspecter que la vraie logique derrière cette idée centrale ait été de rendre le livre attrayant aux éditeurs occidentaux, qui autrement ne l'auriaient pas trouvé intéressant. Une star indienne du cinéma qui symbolise un décalage culturel important ? Qui a fait ce travail pour nous ? On peut les imaginer un train de le dire, jusqu'à ce qu'on leur explique qu'il y a plus de 3 millions de personnes d'origine indienne en Amérique du Nord et la plupart d'entre eux se sont des fans de Khan.
Ce soupçon s'intensifie pendant qu'on lit le livre - écrit dans le vrai modèle d'un journaliste américain qualifié. La hantise avec les cas de figure précises (Doordarshan a gagné les roupies $7.7 millions en 1975 et a enregistré les recettes publicitaires de $1.61 milliards de 1988-89), sans compter les explications sur toutes les choses indiennes (quelques lignes pour nous dire ce qu'est un Laxman Rekha) et tout ce traitement d'arrière-plan pour que un non-indien puisse puisse suivre- tous ceux il nous indique que le vrai public ciblé du livre n'est pas ici, mais là-bas.
Regardant au delà de ceci, on doit admirer la diligence de Chopra en tant que journaliste pour nous dire l'histoire du voyage de Khan jusqu'au sommet. Certaines parties du livre sont mordantes et écrites d'une façon très amusante. Mais une question a été soulevée par le esprit du lecteur : chaque personne associée à lui - ces amis, professeur est plus tard pendant ces années de lutte dans l'industrie du cinéma - tout le monde a toujours débordé d'admiration pour lui ? A-t-il des statuts de 'in/out de Chopra avec l'industrie (elle est reliée de plusieurs manières) pour ecrire une biographie « ensoleilée »?
Si vous êtes fan, vous l'achèterez de toutes façons. Mais le feriez-vous si vous étiez à la recherche d'une analyse sérieuse du cinéma Hindi ou des transformations de l'Inde, ce qui, après tout, est essentiel pour comprendre Khan comme nous le dit l'auteur? Peut-être pas. Pour cela regardez simplement Dilwale Dulhyania Le Jayenge et ensuite Chak De

Sidharth Bhatia

Meme si on en apprend pas grand choses de nouveau, les articles sont plus qu'interessant.

Surtout le dernier d'EliahJi.

Wouaw alors là on atteint des sommets dans la bétise journalistique à en faire mal à la tête!

Ce Siddarth Batia a un serieux problème!!!!!

Je tiens quand même à préciser que son point de vue est néanmoins certainement le reflet de la pensée de beaucoup d'indiens puisque pas plus tard qu'hier je me suis rendue chez mon habituel vendeur de films Bolly à la Courneuve et que j'ai eu une conversation concernant SRK entre autres très instructive.

Comme il me disait que c t le principal fournisseur de DVDs indiens "non officiels" en France et en Europe et donc de toutes les boutiques du quartier indien (il est aussi à l'origine de la salle de cinéma diffusant des films Bolly aux 4 chemins de la Courneuve et compte en ouvrir d'autres sur Paris très bientôt), je me suis empressée de lui demander pourquoi il ne ferait pas venir Shahrukh comme l'avait fait Bodega l'année dernière?

Vous savez ce qu'il m'a dit?

Il m'a dit que SRK était "très cher", qu'en plus (et je ne vois pas le rapport!!! mais ça m'a permis de savoir ce qu'il pensait de notre star préférée!) il est trop souvent en Europe.

Trop souvent?

mais il est venu officiellement que 2 ou 3 fois...en France

et? où est le problème?

Et soudain j'ai compris et lui ai dit: ah ok vous trouvez qu'il s'européanise trop que c plus un vrai indien?
Il a dendoliné de la tête si bien que je ne savais pas si c t oui ou non!

Bref, il a enchainé en me vantant le Grand Amitabh Bachchan auquel g retorqué: "je vous le laisse et très honetement pour moi SRK est la seule star pouvant représenter l'Inde dans le monde."

Il m'a donné multiples explications qui m'ont convaincu que finalement SRK n'était pas (ou plus) leur "indien" préféré et qui m'ont finalement laissez un gout amer...comme cet article d'ailleurs!

Eliah1 a écrit:

Wouaw alors là on atteint des sommets dans la bétise journalistique à en faire mal à la tête!

Ce Siddarth Batia a un serieux problème!!!!!

Je tiens quand même à préciser que son point de vue est néanmoins certainement le reflet de la pensée de beaucoup d'indiens puisque pas plus tard qu'hier je me suis rendue chez mon habituel vendeur de films Bolly à la Courneuve et que j'ai eu une conversation concernant SRK entre autres très instructive.

Comme il me disait que c t le principal fournisseur de DVDs indiens "non officiels" en France et en Europe et donc de toutes les boutiques du quartier indien (il est aussi à l'origine de la salle de cinéma diffusant des films Bolly aux 4 chemins de la Courneuve et compte en ouvrir d'autres sur Paris très bientôt), je me suis empressée de lui demander pourquoi il ne ferait pas venir Shahrukh comme l'avait fait Bodega l'année dernière?

Vous savez ce qu'il m'a dit?

Il m'a dit que SRK était "très cher", qu'en plus (et je ne vois pas le rapport!!! mais ça m'a permis de savoir ce qu'il pensait de notre star préférée!) il est trop souvent en Europe.

Trop souvent?

mais il est venu officiellement que 2 ou 3 fois...en France

et? où est le problème?

Et soudain j'ai compris et lui ai dit: ah ok vous trouvez qu'il s'européanise trop que c plus un vrai indien?
Il a dendoliné de la tête si bien que je ne savais pas si c t oui ou non!

Bref, il a enchainé en me vantant le Grand Amitabh Bachchan auquel g retorqué: "je vous le laisse et très honetement pour moi SRK est la seule star pouvant représenter l'Inde dans le monde."

Il m'a donné multiples explications qui m'ont convaincu que finalement SRK n'était pas (ou plus) leur "indien" préféré et qui m'ont finalement laissez un gout amer...comme cet article d'ailleurs!

Hoé... C'est celui de RAMZA là ???
J'aimerai bien papoter avec lui tien sur ca !!

Sa montre bien que Shahrukh n'est pas né avec une cuillere en or dans la bouche.
Il a du etre fort et celà dés l'adolescence.

C'est vrement touchant !
Son pere etait vrement tres belle homme c'est vrais.
Il a su realiser les quelque but inachevé de son pere, chose remarquable, vous ne trouvez pas?

Ca me touche beaucoup ça !!!!

Oui, effectivement son papa était un idéaliste et je ne sais pas si je me trompe mais il n'était peut-être pas aussi mordu par le metier d'acteur pour s'y investir totalement.

Je crois qu'il faut avoir un esprit à la fois très cartésien pour réussir dans l'artistique (c d'ailleurs tout le paradoxe de ces métiers là, c'est que il faut garder les pieds sur terre pour le business et rester artiste ce qui demande une grande part de rêve et de créativité) tout en restant dans sa bulle créative.
Ce que SRK a très bien su faire...
Il a su occuper tout cet univers pailleté qui demande à la fois de la rigueur, de la determination et parralèlement exploiter son don au maximum.

Son père a du jouer un rôle crucial dans tout ce processus de réalisation, car même si SRK dit qu'il était très "idéaliste" comme pour justifier son manque d'acharnement à réussir ainsi que sa naïveté (Meer Khan s'est fait duper dans les affaires et par ses propres amis; c'est precisé dans le livre) je crois qu'il a de part ce fait aussi énormément influencer le parcours de son fils...et a fait de lui cette personne qu'il semble être à mes yeux: Un homme, à la fois, pragmatique doué dans les affaires et un homme de Coeur.

En gros l'homme que tout père aimerait avoir comme fils?

Mr Khan doit être fier de lui c certain.

Paix à son âme...

oui il doit ete fier de shahrukh en tout je ne sais plus le decrire ça devient de plus en plus difficile pour moi

Le livre d'Anupama Chopra sur SRK a été traduit en plusieurs langues

Par notre correspondant ©2007 Bollyvista.com
28 août 2007 01:21 : 07 AM IST

Le Roi de Bollywood Shah Rukh Khan et le monde séduisant du cinéma indien par Anupama Chopra, qui a été lancé il y a 3 semaines et qui marche très bien, sera maintenant publié en Hindi, Marathi et Allemand.

La traduction en Hindi intitulée « Shahenshah-e-Bollywood » est éditée par Rave Media et sera publiblé ce week-end dans le pays.

La traduction en Marathi, éditée par Ameya Prakashan, sera publié le 1er septembre.

La traduction allemande, éditée par Rapid Eye, sera publié Frankfurt Book Fair en octobre de cette année.

En attendant, le livre anglais s'est déjà vendu plus de 10.000 copies et a reçues beaucoup des éloges.

Maya a écrit:

Le livre d'Anupama Chopra sur SRK a été traduit en plusieurs langues

Par notre correspondant ©2007 Bollyvista.com
28 août 2007 01:21 : 07 AM IST

Le Roi de Bollywood Shah Rukh Khan et le monde séduisant du cinéma indien par Anupama Chopra, qui a été lancé il y a 3 semaines et qui marche très bien, sera maintenant publié en Hindi, Marathi et Allemand.

La traduction en Hindi intitulée « Shahenshah-e-Bollywood » est éditée par Rave Media et sera publiblé ce week-end dans le pays.

La traduction en Marathi, éditée par Ameya Prakashan, sera publié le 1er septembre.

La traduction allemande, éditée par Rapid Eye, sera publié Frankfurt Book Fair en octobre de cette année.

En attendant, le livre anglais s'est déjà vendu plus de 10.000 copies et a reçues beaucoup des éloges.

Eh bah c'est bien joli tout ca, mais le français est mis à l'eccar encore une fois...

Zouzounette a écrit:

Maya a écrit:

Le livre d'Anupama Chopra sur SRK a été traduit en plusieurs langues

Par notre correspondant ©2007 Bollyvista.com
28 août 2007 01:21 : 07 AM IST

Le Roi de Bollywood Shah Rukh Khan et le monde séduisant du cinéma indien par Anupama Chopra, qui a été lancé il y a 3 semaines et qui marche très bien, sera maintenant publié en Hindi, Marathi et Allemand.

La traduction en Hindi intitulée « Shahenshah-e-Bollywood » est éditée par Rave Media et sera publiblé ce week-end dans le pays.

La traduction en Marathi, éditée par Ameya Prakashan, sera publié le 1er septembre.

La traduction allemande, éditée par Rapid Eye, sera publié Frankfurt Book Fair en octobre de cette année.

En attendant, le livre anglais s'est déjà vendu plus de 10.000 copies et a reçues beaucoup des éloges.

Eh bah c'est bien joli tout ca, mais le français est mis à l'eccar encore une fois...

oui ca c'est super dommage

Ya un dicton qui dit que les erreurs de nos ainer doivent nous servir pour nous sortir ou nous guidés. Et srk à sur mettre à profis les choses que son père à commencer à faire mais qu'il n'a pas finit. Je pense que aussi qu'il faut une grande force de carractère pour poursuivre les choses, les affaires que nos parents on mis en place et srk à cette force là. Même si le père de srk n'est pluslà pour voir les exploits de son fils je suis sur qu'il est fière de lui. SRK été très lier à ces parents et il se devait de continuer ce que son père à commencer. Comme le dit Eliah, les choses qui sont arrivés à son père, à influencer srk et a fait de lui une personne pragmatique, doué dans les affaires et sa se voit sa se sens, il est partout à la fois et c'est un homme de coeur , généreux, comme j'en ai jamais vus. Ce qui fait de lui un homme attachant. Et je suis sur moi aussi que le père de srk est fière de son fils, qu'il voit tous ces exploits de là haut. ( quand j'écris ces mots j'ai envie de , je suis toute émut)

J'ai le livre!!!!!!
Il est venu de la Nouvelle-Zelande!!!!!!!