Aventure OSO à Berlin: les shahrukhfans étaient ds la place!

Maya a écrit:

Quand Meha a posé sa question au cinéma j'étais morte de rire parce que je me suis bien rendu compte qu'elle n'avait rien préparé. Elle s'est présentée en faisant partie du french fan club shahrukhfan est là elle a eu droit à ce sourire que je ne saurais pas trop décrire que Shahrukh nous dédie à chaque fois qu'il entend le mot "french". Sourire coquin ?

Je n'ai pas trop compris sa question et encore moins ce que Shahrukh a répondu. Par contre une fois il a fini sa réponse il a dit qu'il avait beaucoup de mal à prononcer le nom de cette distinction.

Au fait, elle voulait juste placer le "French club" :ptdr1:
On a entendu German fans, Poland fans, il fallait qu'il sache que la France était là aussi!

Anne a écrit:

Berlin 2008

Ça y est, je l’ai enfin rencontré ! J’ai vu SRK pour la première fois de ma vie à Berlin et je suis plus impressionnée par ce que j'ai ressenti suite à cette rencontre que par SRK lui même.
Au moment de notre rencontre, il ya eu un échange. Je ne peux pas le décrire car malheureusement c'était un échange unilatéral.
Nous étions deux, mais SRK était le seul à communiquer, moi j'étais partie; où? Je ne saurai le dire. Pourtant, j'ai le sentiment d'être revenue plus riche de cette expérience!

Mais faisons bien les choses et racontons tout dans l’ordre.

Le trajet en car, soit dit en passant que je redoutais, a été très long à l’aller et très court au retour. Nous étions assises à l’arrière toutes les trois, Meha, Eliah et moi. Nous avons beaucoup discuté, je ne sais plus trop de quoi nous avons parlé ! Ah oui, de nos familles, de la vie et bien sure de SRK ! Je n’ai pas du tout dormi, trop difficile ! j’ai juste fermer les yeux !

Le car est arrivé avec 30 min de retard, du coup il fallait faire vite pour ne pas rater le RDV avec les filles de Planete SRK. Meha est rentrée chez elle et Eliah et moi sommes allées à l’hôtel pour nous débarbouiller et revenir au point de RDV avec Maya et Jeannine.

Maya, j’ai été ravie de te rencontrer enfin en chair et en os !

Devant le ciné, il y avait déjà du monde, à 12H ! Vous vous en rendez compte! Les membres de Planète SRK avec leur ballons aux couleurs de l’Inde et d’autres fans. Nous faisons la connaissance de Clochette, à qui je fais une dédicace spéciale :

Clochette, tu es géniale ! Et j’ai beaucoup aimé la réponse que tu m’a donnée quand je t’ai demandée depuis quand tu étais fan de SRK ! Tu as dit : « Je suis fan de SRK mais je suis surtout fan des fans de SRK ! » C’est trop beau !

Il n’ya plus de place pour la première, nous achetons donc des places pour la séance de minuit car la perspective de voir OSO avec d’autres fans nous enchente énormément! Munies de nos billets, nous allons prendre place derrières les barrières pour attendre l’arrivée de Monsieur !

Je vous épargne les 8 heures d’attente, il n’ya rien eu de spécial, enfin pour moi ! Ah si, Glinma nous a rejoint et nous avons surtout lutté pour garder nos places car plus l’heure approchait plus il y avait du monde et la tension commençait à monter.

Grâce à l'intervention de Meha et du fameux gars blond, Maya a été mise en sécurité devant les barrières ! Un soulagement ! Car certaines personnes sans aucun scrupule n’avaient rien à faire de son état et étaient prêtes à tout pour voir SRK et prendre une photo avec lui. Et bien, l'une d'elles a réussi !

Une dame, qui apparemment travaille avec SRK et le connaît très bien, s’est approché de Maya et lui a proposé 2 places pour aller voir le film en première avec SRK ! Maya lui a dit que oui elle était contente mais qu’on était 5 et qu’il fallait plus de place ! Malgré les supplications, la dame ne voulait rien savoir, c’était 2 places ou rien ! Maya devait choisir avec qui y aller. Finalement les filles m’ont proposée d’y aller ! J’étais embêtée qu’on ne puisse pas toutes y aller mais je me suis dit qu’on allait pas se mettre à discuter devant la dame. Donc j’ai dit ok ! Merci les filles !

J’étais derrière Maya de l’autre côté de la barrière et sachant que SRK allait s’arrêter face à elle et donc face à moi, je voulais prendre les plus belles photos possible et immortaliser le moment où ils se parlent ! J’avais également l’appareil photo de Glinma !

Enfin SRK arrive ! En retard comme d'ab! Beau plus que d'ab! Cette cravate! Oh God!

Moi qui ne l’ai jamais rencontré, j’ai été surprise qu’à son arrivée, il ne se dirige pas directement vers les journalistes et les photographes, ce qu' une star normale aurait fait!
Dès qu’il est sorti de sa voiture il s’est directement dirigé vers les fans qui étaient de l’autre côté de la route pour les saluer ! J’ai trouvé ça vraiment super ! Les journalistes n’avaient qu’à attendre ! Bah oui!

Nous étions en bout de queue à l’entrée du cinéma donc il a mis du temps à arriver jusqu’à nous. Quand enfin il voit Maya et qu’il s’approche d’elle, je me prépare à prendre mes photos et à résister aux bousculades et aux hurlements, c’est terrible ! Hallucinant ! Mes pauvres petites côtes.

C’est là que l’épisode des billets se produit !

J’ai pris une photo avec l’appareil de Glinma ! Ensuite j’ai essayé d’en prendre avec le mien. J’en ai pris 2 et au moment de prendre la troisième, mon appareil se bloque. Donc je m’acharne pour le débloquer quand soudain j’ai le sentiment qu’il faut que je lève la tête ! Et là, je vois SRK, debout en face de moi, qui me regarde droit dans les yeux et qui remue les lèvres ! Qu’a-t-il dit, je n’en ai aucune idée ! Je perds complètement mes moyens par ce que je ne m’attendais pas à ça ! Il était tellement beau, avec sa belle cravate argentée ! Putain ! Je ne savais pas quoi faire, j’étais consciente mais inconsciente !

Je vais essayer de vous expliquer cela comme si vous aviez 5 ans:

Imaginez que le cerveau humain est un ensemble de petits cubes emboîtés les uns aux autres. Chaque cube à une fonction bien définie et leur assemblage forme un ensemble homogène qui fait en sorte que tout fonctionne normalement.
Quand j’ai vu SRK debout, à une distance d'un bras pas tout à fait tendu, qui me regardait droit dans les yeux et me parlait, mes cubes ont dégringolé ! Il ya eu un dysfonctionnement du système. Il fallait vite tout remettre en ordre pour pouvoir réagir avec efficacité. Mais rien à faire, à chaque fois que je réussissais à replacer un cube, il retombait aussitôt! D'où mes réactions incohérentes Eliah!
Le fait que SRK soit en face de moi en chair et en os, me regarder droit dans les yeux et me parler était tellement surréaliste que j'ai disjoncté!

Le pauvre SRK était là, se demandant ce qu’il se passait et ce qu’il allait bien pouvoir faire des billets qu’il avait décidé si gentiment de nous offrir et que j’avais l’air de ne pas vouloir prendre! Il ne savait pas que j'étais occupée à replacer mes cubes dans l'ordre. Je n’ai entendu ni Maya ni Eliah qui hurlaient: "prends les billets, prends les billets !" Je n’ai même pas entendu ce que SRK me disait alors !
Assez violente comme première rencontre ! Waou !

Finalement, je ne sais pas comment mais j’ai pris les billets et la première chose qui m’est venue en tête est : « On va pouvoir toutes y allez » Et j’ai crié : « Les filles, on peut toutes y aller ! » à ce moment là, je n’ai pas compris pourquoi elles n’étaient pas surprises !

Enfin, après un duo de pétage de plomb avec Meha, on a enfin pu entrer pour aller voir le film ! Nous n’étions pas ensemble, ça m’a un peu embêtée ! Bref ! J’avais hâte que le film se termine par ce que SRK a dit qu’il reviendrait. Dès la fin, je me suis précipitée devant la scène comme tout le monde et SRK est arrivé sous les acclamations et les applaudissements !

Je ne parlerai pas de ce qu’il a dit parce que ce n’est pas le plus important. Il était vraiment magnifique.

2 choses m’ont marquées: L’attitude de SRK sur scène et l’attitude du public à son égard ! Il y avait beaucoup d’amour dans la salle ! C’était trop émouvant !

SRK avait l’air si timide, trop mignon ! Il était arrêté là, s'appuyant tantôt sur un pied tantôt sur l’autre et il répondait aux questions. Il était très beau dans son costume tout noir avec sa cravate argentée ! La classe quoi ! Trop mignon ! La salle était conquise !

Le public était à ses pieds, littéralement ! Nous nous sommes avancés vers la scène ! Certains, dont Meha, Glinma et moi etaient assis par terre devant lui. Comme dans Swades pendant la pojection du film quand il demande aux gens de regarder les étoiles ! Ce soir là, c’était lui l’étoile.
Tout ceux qui étaient assis par terre faisaient la même chose. On essayait d’avancer petit à petit, millimètre par millimètre ou comme dit Eliah, fesse par fesse pour être plus prêt de lui. On a pas pu aller plus loin car il y avait des marches ! Quiconque aurait essayer de grimper ces marches même assis ce serait fait grillé ! Enfin, il est parti et nous aussi.

C’était vraiment agréable d’observer SRK ! Il a l’air de quelqu’un de vraiment simple ! Il est dix mille fois beau en vrai ! Quand je dis beau, je veux parler autant du physique que de la beauté qui vient de l’intérieur ! J’ai aimé sa façon de parler, il parle doucement ! J’ai beaucoup aimé son attitude envers les fans, le fait de prendre son temps, d’être zen malgré les cris et les bousculades, d’être souriant ! Il avait vraiment l’air heureux d’être là. Il était adorable ! à un moment donné, une fille a fait tomber son livre, il s’est baissé pour le ramasser et le lui remettre alors qu’il y avait du monde autour de lui qui aurait pu le faire ! Madonna ou Tom Cruise ne l’auraient jamais fait ! Et puis une autre fille lui a offert un paquet de chocolat je crois ? Il a automatiquement ouvert le paquet devant nous, avec ses dents ! Trop émouvant ! On a tous vu ce qu’elle lui avait offert et on a fait : « aaaah ! » C’est du SRK tout craché !

Nous sommes rentrées, Meha chez ses parents, Glinma à son hôtel et Maya, Eliah et moi avons, malgré nous, eu droit à une visite de « Berlin by night ! »  ! Leur métro est trop compliqué ! Du moins au début !

Je zappe la soirée du Samedi, un vrai fiasco ! Une arnaque ! Quel honte !

Dimanche, le plus beau jour de ce séjour berlinois ! La vache SRK ! Quel homme !
Stratégie marketing certes, mais tant que chacun y trouve son compte, je dis chapeau !

Apparement, il n’est pas rentré par la porte d’entrée, le tapis rouge. Il est rentré par l’arrière ! Il est aussi sorti par là dans sa voiture et au lieu de continuer son chemin, il est venu s’arrêter devant le tapis rouge, est ressorti de sa voiture et à commencer sa tournée ! Incroyable ! Tout le monde a eu quelque chose de SRK ce jour là ! Il n’a oublié personne. Sa tournée a duré plus d’une heure, il a salué tout le monde, avec patience, en souriant, répondant aux « SRK I love you » par un « Thank you » Il a soulevé des tas de bébés, calmé quelques personnes en crise, pris des photos et tout et tout ! Il était disponible ! Il prenait son pied à faire ça, j’ai même eu l’impression qu’il ne voulait pas que ça s’arrête ! Qu’il ne voulait pas partir !
J’ai eu mes photos, je l’ai embrassé (une embrassade partagée car nous étions deux !)
Il y avait beaucoup beaucoup d’amour ! Hallucinant ! C’était merveilleux ! Cet homme est un ange. Il a bien finir par partir car toute chose a une fin ! Je vois encore son départ, dans la voiture, tout le monde lui dit au revoir et lui vitre baissée nous envoie des bisous !

Voilà, j’espère avoir partager mes émotions avec vous. Ce que je retiens de cette première rencontre, c’est tout l’amour que j’ai ressenti ! Dans le cinéma à la première, il y avait tellement d’amour qui flottait dans l’air que c’était presque palpable. Au talent Campus, pareil ! SRK nous donnait de l’amour en se mettant à notre disposition et nous lui rendions cet amour autant que faire se peut ! Il est évident qu’il adore ça. Et c’est rassurant de savoir qu’il adore ça car parfois on a l’impression de le bouffer, de l’aspirer ! Donc en sachant que ça ne le dérange pas, on est décomplexé.

En tout cas, merci SRK pour toutes ces émotions que tu m'as fais vivre ! Cette escapade à Berlin a été pour moi comme une cure. Je souhaite à tout le monde de te rencontrer au moins une fois.
Quand à Meha, Maya, Eliah, Glinma, ne changez pas ! Vous êtes formidables ! Il y avait une très belle solidarité entre nous ! C’était génial ! Merci les filles !

Je vous aime et je remets ça sans problème.

FABULEUX ton récit Anne. Halalal Le Bolc cerveau comme dirait mon frère lol. Etbien voilà l'éeffet quil peut nous faire en le voaynt en vrais un bloc cerveau. lol ! J'ai adorer sa réaction pour les billet vraiment amginfique c'est un ange. Comme ne pas l'aimer plus ? Merci Anne de nous faire partager ton récit

Maya a écrit:

Quand Meha a posé sa question au cinéma j'étais morte de rire parce que je me suis bien rendu compte qu'elle n'avait rien préparé. Elle s'est présentée en faisant partie du french fan club shahrukhfan est là elle a eu droit à ce sourire que je ne saurais pas trop décrire que Shahrukh nous dédie à chaque fois qu'il entend le mot "french". Sourire coquin ?

Je n'ai pas trop compris sa question et encore moins ce que Shahrukh a répondu. Par contre une fois il a fini sa réponse il a dit qu'il avait beaucoup de mal à prononcer le nom de cette distinction.

Et c'est là que je me suis dit, non tu vas pas faire ça, non tu vas pas faire ça parce que je le voyais venir de loin. J'ai eu la nette impression que c'était une introduction pour sortir la seule chose que de toute evidence il sait prononcer en français, voulez-vous coucher avec moi. En fait il a dit voulez-vous mais il s'est ravisé. Je ne sais pas pourquoi.

Peut-être qu'à force de se trouver devant des fans françaises, puisqu'on est toujours là il a le sentiment de rechauffé.

J'aimerais bien savoir que ce qu'il a derrière la tête ou ce qu'on lui a raconté au sujet des françaises. En tout cas j'adore ce sourire.

:coolish: :ptdr1: Alors le Mot FRENCH lui fait un tel effet qu'il a un sourire comment fire coquin :coolish: :ptdr1: ! hayahaya. J'aimerais bien savoir ce que lon a bien pu lui dire sur la france pour qu'il est ce genre de sourire, et enplsu réservé qu'au fan french lol ! Un sourir spécialement dédier que peut on demder de mieux :ptdr1:

Anne a écrit:

Il a été mignon car il a patiemment attendu que je revienne!
Il ne s'est pas cassé avec ses billets!

C'est clair mais en même temps il a vu que tu était ailleurs au passage, etpuis sachant l'effet qu'il nous fait lol !

Anne a écrit:

Maya a écrit:

Quand Meha a posé sa question au cinéma j'étais morte de rire parce que je me suis bien rendu compte qu'elle n'avait rien préparé. Elle s'est présentée en faisant partie du french fan club shahrukhfan est là elle a eu droit à ce sourire que je ne saurais pas trop décrire que Shahrukh nous dédie à chaque fois qu'il entend le mot "french". Sourire coquin ?

Je n'ai pas trop compris sa question et encore moins ce que Shahrukh a répondu. Par contre une fois il a fini sa réponse il a dit qu'il avait beaucoup de mal à prononcer le nom de cette distinction.

Au fait, elle voulait juste placer le "French club" :ptdr1:
On a entendu German fans, Poland fans, il fallait qu'il sache que la France était là aussi!

ben oui fallait bien qu'il sache qu'on avait fait tout le déplacement !!! les francaises le suivent a la trace

[quote="Meha"]

Anne a écrit:

Maya a écrit:

Quand Meha a posé sa question au cinéma j'étais morte de rire parce que je me suis bien rendu compte qu'elle n'avait rien préparé. Elle s'est présentée en faisant partie du french fan club shahrukhfan est là elle a eu droit à ce sourire que je ne saurais pas trop décrire que Shahrukh nous dédie à chaque fois qu'il entend le mot "french". Sourire coquin ?

Je n'ai pas trop compris sa question et encore moins ce que Shahrukh a répondu. Par contre une fois il a fini sa réponse il a dit qu'il avait beaucoup de mal à prononcer le nom de cette distinction.

Au fait, elle voulait juste placer le "French club" :ptdr1:
On a entendu German fans, Poland fans, il fallait qu'il sache que la France était là aussi!

ben oui fallait bien qu'il sache qu'on avait fait tout le déplacement !!! les francaises le suivent a la trace [/quot

t'es la meilleure et tu as eu parfaitement raison il fallait qu'il le saches

Salut, Maya, je pense que tu me conaisses. Je suis Sabine d'Allemagne. Nous sommes en train de faire une Mail pour SRK pour lui dire merci pour Berlin. Chaque fan peux poster une phrase avec 10 mots en Anglais. S'il vous plait regardez là
http://www.bollywoodforum.ch/forum/showthread.php?p=318865#post318865
C'est une action internationale et pour tous les forums de Shahrukh Khan.
Est-ce que vous voulez écrire aussi?
L'adress pour les phrases vient tôt. Excusez mon francais, s'il vous plaît...

SabineJo a écrit:

Salut, Maya, je pense que tu me conaisses. Je suis Sabine d'Allemagne. Nous sommes en train de faire une Mail pour SRK pour lui dire merci pour Berlin. Chaque fan peux poster une phrase avec 10 mots en Anglais. S'il vous plait regardez là
http://www.bollywoodforum.ch/forum/showthread.php?p=318865#post318865
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Est-ce que vous voulez écrire aussi?
L'adress pour les phrases vient tôt. Excusez mon francais, s'il vous plaît...

On va se faire un plaisir de t'ecrire SabineJo ! Merci pour le lien !

SabineJo a écrit:

Salut, Maya, je pense que tu me conaisses. Je suis Sabine d'Allemagne. Nous sommes en train de faire une Mail pour SRK pour lui dire merci pour Berlin. Chaque fan peux poster une phrase avec 10 mots en Anglais. S'il vous plait regardez là
http://www.bollywoodforum.ch/forum/showthread.php?p=318865#post318865
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Est-ce que vous voulez écrire aussi?
L'adress pour les phrases vient tôt. Excusez mon francais, s'il vous plaît...

sofort!!!!!!!!!!!

Hallo Maya, sofort -tout de suite?
C'est bien :-) Merci beaucoup pour ta message dans le forum suisse hier.
Maya, je voudrais bien te prier de collecter des noms des fans qui veulent envoyer une phrase de 10 mots à SRK. Chaque fan aura une étoile et quand SRK touche cette étoile avec sa souris il peut lire le message. Regardez une example ici
http://www.michaela-kristel.de/entwurf2.html
C'est l'étoile tout droit en haut. Espérons qu'il y aura un million d'étoiles et plus :-)
Alors, envoyez- moi vos noms, et vos phrases
sabine@shahrukkhkhan.de jusque demain, le samedi
s.v.p.

Quinze jours se sont passés depuis Berlin, une éternité et, en même temps, juste un pas en avant… Quand il s'agit de ShahRukh, quand l'amour dicte le temps, la durée se tire à l'infini et se contracte simultanément. C'est maintenant la troisième fois que je vis ça quand il s'agit de cet homme exceptionnel.
Quand je fis le dernier 'salut' à mes amies françaises après le Talent Campus, je savais, que c'était définitivement fini. La dernière cigarette à Berlin, monter dans la voiture, partir… A ce moment-là, l'amour me protégeait encore de la tristesse, du manque, des questions refoulées, surgies après un samedi tourmenté. J'avais passé des heures formidables avec les fans de ShahRukh, avec ShahRukh et ses fans, dans ce cycle d'amour et d'enthousiasme, de joie et d'émotions tumultueuses. Pendant ces rencontres, je ne me suis jamais approchée de lui, j'étais seulement dans l'observation. Je l'aimais pour ce qu'il donnait à chacun atteignable, j'aimais ses fans pour ce qu'elles (et aussi quelques 'ils') lui donnaient. Cet échange fut tellement précieux, un tel espoir pour un monde meilleur que cela me remplissait d'un bonheur incroyable. Bien sûr, il y avait cette sorte d'hystérie et bousculade bien connue, la foule folle, quoi. Mais il y avait aussi d'autre chose, palpable, surtout dans les moments de silence. Je me demandais si quelqu'un d'en haut avait tracé une ligne autour de l'endroit, le protégeant de chaque intervention perturbante de l'extérieur.
Le tapis rouge devant le cinéma… J'étais sur le trottoir, à quelques pas de l'endroit où la limousine avec ShahRukh dedans s'arrêta. Il a dû avoir vu la ligne des fans dans l'obscurité de l'autre côté de la rue car quand les officiels et les gardes du corps mis à sa disposition à Berlin voulaient le guider sur le tapis, il fit non de la tête, se tourna et traversa la rue, les autres galopant derrière lui. Le seul qui fut tout de suite à son côté, c'était Yaseen, son garde du corps depuis des années. Il connaît bien son 'boss' comme il le nomme.
J'ai déjà vu ShahRukh interagir avec ses fans à la première de Chak De à Londres, mais Berlin, c'était maintes fois plus intense. J'étais heureuse, je savais maintenant qu'il ira voir tous ses fans, n'importe le temps que ça durera. Après avoir fait la ligne longue il revenait, et les fans tout à l'extrême gauche criaient de joie. Quand il s'approchait de l'endroit où j'étais planqué sur le trottoir, la sécurité me disait de m'en aller (j'étais la seule pas derrière des barrières) et j'obtempérai. Je passai derrière la boule autour de ShahRukh remarquant que son aura se dirigeait uniquement vers l'avant, à l'encontre de ses fans, la sécurité derrière lui était littéralement dans le froid (je ne pense pas qu'il avait de l'affection pour ces gens qui essayaient constamment de l'urger à faire plus vite parce qu'il y avait la presse qui l'attendait et puis le public dans le cinéma et on était déjà en retard et patati et patata). Ce grand gamin, à ce moment, non, dans ces moments, se fichait royalement de la presse et, certainement, envoyait en pensées un 'sorry, but you have to wait' au public l'attendant au cinéma. Une heure et vingt minutes plus tard, il entra dans le cinéma, après des derniers baisers jetés à ses fans ravis, après une dernière révérence. Il avait rajeuni de dix ans!
Quand il ressortit de la porte à côté dix minutes plus tard, la sécurité lui ouvrit la porte de la limousine et de nouveau il faisait signe que non. Chaque fan venu(e) se poster là recevait une autre 'dose' de ShahRukh. Presque trois heures plus tard, il revenait, disant à la sécurité qu'il ne voulait pas sortir à la sauvette, mais voir encore les fans qui avaient passés des heures à attendre pour voir le film ou pour le voir, lui, encore une fois. Des barrières formaient un corridor descendant de l'entrée droite, mais finalement, il ne pouvait plus régaler ses fans encore une fois puisque dans le foyer, il y avait déjà trop de gens parce qu'on avait ouvert la porte du milieu (eh oui, l'information n'avait pas atteint tous les responsables). Donc, ShahRukh a dû partir de la porte à côté… Est-ce qu'il faut préciser combien je fus touchée par son comportement?!
Quand après le Talent Campus, il fit arrêter la limousine et en sortit, je me disais que cet homme a dans son petit doigt plus d'intelligence, savoir faire et respect pour ceux qui comptent que tous les stars (avec lesquels on le compare toujours de nouveau) ensemble. Et quand il fit attendre pour plus de vingt minutes des bus du transport public, mon cœur jubilait se disant que, une fois de plus, il avait réussi un de ses buts les plus importants: capter autant de yeux que possible. Maintenant les passagers de ces deux bus l'avaient bien vu!!! Et si seulement la moitié des ces gens retenait le nom de celui qui avait les culots de retarder le trafic et agir contre la ponctualité allemande, ça serait un succès considérable! Il s'était imposé dans ce festival comme le vrai star!! Ah, vraiment, tout l'univers s'était mis en accord avec ShahRukh et ses fans – en plus, il faisait beau temps!
Ma propre rencontre avec ShahRukh n'avait rien à faire avec ses fans, ou plutôt pas directement. Je vivais une sorte de cauchemar qui tournait en je-ne-sais-pas-comment-le-nommer. A vous de juger. Cela se passait le samedi et je l'ai toujours dans mon système.
... (je vais continuer une autre fois, okay?!)

J'attendrais la suite clochette !!!!
ca fait plaisir de te voir !!!!

Merci Meha!!! Et aussi merci à tous les autres qui ont si gentiment écrit de moi!!!

J'ai essayé d'aller au lit pour dormir... tu parles!!! Donc, je me suis remis à l'écriture et voilà le reste:

A travers un journal berlinois, j'avais obtenu auprès de Eros Entertainment une interview de dix minutes avec ShahRukh lors d'un 'parcours' de presse avec, au début, un photo-shooting suivi par des interviews avec des journaux, magazines et chaînes TV. J'étais la deuxième sur la liste après le photo-shooting. Comme d'habitude, ShahRukh était en retard, mais seulement d'une heure. Les trois minutes du photo-shooting étaient la chose la plus désagréable que j'avais vécue jusqu'alors en relation avec ShahRukh. Imaginez cet homme, tout seul dans un coin dans un beau salon, devant des affiches d'OSO (bien sûr, le ShahRukh en carton), devant lui une ligne de photographes le regardent uniquement à travers des objectifs, submergé sans cesse par des flashs et des clics, clics, embroché par des yeux qu'il ne voyait pas… Comme je ne faisais pas des photos (je déteste ce 'jeu'), je le regardais avec mes yeux et je me demandais comment il faisait pour ne pas seulement supporter ces trois minutes qui me semblaient se dilater à vingt, mais en plus de donner des photos que nous tous aimons tellement. Qu'est-ce qui lui trottait dans la tête qu'il pouvait sourire, sembler être relaxé malgré la tension que je sentais. Mais peut-être ce n'était que moi qui la sentait, peut-être elle n'existait que dans mon imagination.
Quand il arriva dans le salon, il passa devant moi en me demandant comment je vais (il m'avait donc reconnue)- je lui disais que j'allais vachement bien (me réjouissant du fait que j'étais la seule à laquelle il s'était adressé directement – les autres avait reçu un "hello, sorry, I am late" général). Mais étrangement, ces mots devraient rester les seuls que je recevais de sa part pendant cette journée. Après le photo-shooting, la responsable londonienne de Eros Entertainment demanda aux responsables allemandes de l'horaire presse de changer la suite des interviews, de donner la préférence aux médias nationaux et puis, après, de tenir compte aux médias régionaux… bref, mon interview fut différée et encore différée, puis, on me disait que j'aurai seulement encore 5 minutes, puis, après plus de quatre heures d'attente, pas d'interview du tout. Bien sûr, j'ai protesté, bien sûr, ça n'a pas aidé. Les responsables allemandes étaient surpassées par leur tache de concerter les interviews. Ils avaient trop souvent oubliés d'observer que le temps donné (10 minutes, 20 minutes etc.) soit respecté (c'était leur tache de frapper à la porte pour signaler la fin de l'interview). Elles devaient téléphoner à des médias dont les interviews étaient fixées pour plus tard, d'autres devaient attendre plus de deux heures, quelques-uns qui n'avaient pas obtenus la permission pour un interview la recevait maintenant… c'était le Nom d'une pipe en bois!. ShahRukh, lui, il faisait son travail. Sans interruption (sauf pour deux fois aller aux toilettes). Chaque fois qu'il changeait la salle (les interviews pour des journaux et magazines étaient dans une autre pièce que ceux avec des chaînes TV), il passait devant moi (et les autres qui attendaient) sans jamais regarder personne (comme s'il faisait le blanc dans le cerveau, une sorte de récréation mentale) – on lui parlait, mais il ne parlait pas.
ShahRukh était venu à midi et était censé de partir à 18h pour son hôtel pour se changer puisqu'il lui fallait atteindre un dîner. A 18 h, il avait encore une interview avec une chaîne TV. Nous étions encore huit personnes à attendre ce qu'il se passera. Un quart d'heure plus tard, on le savait: ShahRukh avait demandé de nous faire venir tous ensemble pour que nous ne fussions pas venues en vain. Il avait effectué plus de six heures d'interviews, mais il était là, corps et esprit alerte, charmant, patient. La seule chose qui laissait apparaître les heures de travail fut sa voix qui était un peu rauque. On nous avait dit "5 minutes" quand nous nous sommes installés sur un canapé et un fauteuil. Le deuxième fauteuil dans le salon fut poussé vers nous par un ShahRukh très à l'aise dans cette ronde intime. Les 5 minutes étaient quinze minutes quand la voix d'une des responsables disait "dernière question". ShahRukh se tournait vers la voix. "Mr. Khan, vous êtes tenu de faire un discours lors du dîner et vous devez encore aller dans votre hôtel." la voix expliquait avec une urgence perceptible. Dois-je vraiment, ShahRukh demanda (en anglais). "Ben, c'est votre décision, finalement, mais vous l'aviez dit." Donc, je dois, il répondait comme un gamin qui doit faire quelque chose dont il n'a pas envie. Alors, dernière question, il disait en se retournant vers nous. C'étaient trois dernières questions, et après, il donnait à chacun l'autographe demandé (moi, j'ai obtenu trois pour trois amies). Il avait passé plus de vingt minutes avec nous…
Lors de ce ronde, je n'ai pas posé de question (il y avait assez d'autres qui le faisait), donc pas de raison d'adresser la parole à moi (je savais déjà que je ne pouvais pas écrire l'article commandé par le journal, donc pas besoin de prendre la parole). De nouveau, j'étais dans l'observation – c'était la première fois que je lui étais aussi proche pendant autant de temps, dans une atmosphère presque intime (la salle de la conférence de presse à Londres n'avait rien d'intime), ça aurait pu être chez lui, à Mannat. Je voyais qu'il se sentais bien avec nous puisque nous, on était des fans, il savait ça (les 'journos' travaillait pour 'Ishq', 'Indien-Magazin', 'Bollywoodforum.de'… je pense que moi, j'étais la seule travaillant pour un journal hors du monde du cinéma Hindi). Comme toujours, il se concentrait sur la personne avec laquelle il parlait mais nous étions tous dans son cercle d'aura – il avait les bras grand ouverts, il nous embrassait mentalement – une atmosphère incroyablement agréable. Quand il était parti, sa présence restait encore le moment où on se trouvait dans le salon…
Seul dans l'ascenseur, je craquais, les larmes coulaient. Attendre six heures en vain pour une interview qu'on aurait dû avoir, ne plus échanger de mot avec lui (sauf la demande pour les autographes et un chaleureux merci de les avoir obtenues), mais l'avoir vu et, en quelque sorte, senti pendant des heures, et très intensément les dernières vingt minutes… ce mélange de fatigue et déception et en même temps de bonheur et gratitude était trop pour mes nerfs (en plus, je n'avais pas dormi après être rentrée du film à cinq heures du matin). Je ne voulais que rentrer et m'enrouler dans mon lit…
Le lendemain, le soleil souriait et moi avec. Le sommeil avait balayé tout ce qui m'avait oppressé le soir avant. Et je savais que je reverrais ShahRukh.
Maintenant, quinze jours plus tard, l'euphorie de ces jours à Berlin est un souvenir agréable. Le reste, les tourments, ça fait partie du bonheur, n'est-ce pas?

Ah, Clochette, je suis contente de te lire enfin!
Très beau récit qui retranscrit exactement l'ambiance qu'il y avait à Berlin.
Berlin, ma première rencontre avec SRK et la plus émouvante.

Clochette

Clochette a écrit:

Merci Meha!!! Et aussi merci à tous les autres qui ont si gentiment écrit de moi!!!

J'ai essayé d'aller au lit pour dormir... tu parles!!! Donc, je me suis remis à l'écriture et voilà le reste:

A travers un journal berlinois, j'avais obtenu auprès de Eros Entertainment une interview de dix minutes avec ShahRukh lors d'un 'parcours' de presse avec, au début, un photo-shooting suivi par des interviews avec des journaux, magazines et chaînes TV. J'étais la deuxième sur la liste après le photo-shooting. Comme d'habitude, ShahRukh était en retard, mais seulement d'une heure. Les trois minutes du photo-shooting étaient la chose la plus désagréable que j'avais vécue jusqu'alors en relation avec ShahRukh. Imaginez cet homme, tout seul dans un coin dans un beau salon, devant des affiches d'OSO (bien sûr, le ShahRukh en carton), devant lui une ligne de photographes le regardent uniquement à travers des objectifs, submergé sans cesse par des flashs et des clics, clics, embroché par des yeux qu'il ne voyait pas… Comme je ne faisais pas des photos (je déteste ce 'jeu'), je le regardais avec mes yeux et je me demandais comment il faisait pour ne pas seulement supporter ces trois minutes qui me semblaient se dilater à vingt, mais en plus de donner des photos que nous tous aimons tellement. Qu'est-ce qui lui trottait dans la tête qu'il pouvait sourire, sembler être relaxé malgré la tension que je sentais. Mais peut-être ce n'était que moi qui la sentait, peut-être elle n'existait que dans mon imagination.
Quand il arriva dans le salon, il passa devant moi en me demandant comment je vais (il m'avait donc reconnue)- je lui disais que j'allais vachement bien (me réjouissant du fait que j'étais la seule à laquelle il s'était adressé directement – les autres avait reçu un "hello, sorry, I am late" général). Mais étrangement, ces mots devraient rester les seuls que je recevais de sa part pendant cette journée. Après le photo-shooting, la responsable londonienne de Eros Entertainment demanda aux responsables allemandes de l'horaire presse de changer la suite des interviews, de donner la préférence aux médias nationaux et puis, après, de tenir compte aux médias régionaux… bref, mon interview fut différée et encore différée, puis, on me disait que j'aurai seulement encore 5 minutes, puis, après plus de quatre heures d'attente, pas d'interview du tout. Bien sûr, j'ai protesté, bien sûr, ça n'a pas aidé. Les responsables allemandes étaient surpassées par leur tache de concerter les interviews. Ils avaient trop souvent oubliés d'observer que le temps donné (10 minutes, 20 minutes etc.) soit respecté (c'était leur tache de frapper à la porte pour signaler la fin de l'interview). Elles devaient téléphoner à des médias dont les interviews étaient fixées pour plus tard, d'autres devaient attendre plus de deux heures, quelques-uns qui n'avaient pas obtenus la permission pour un interview la recevait maintenant… c'était le Nom d'une pipe en bois!. ShahRukh, lui, il faisait son travail. Sans interruption (sauf pour deux fois aller aux toilettes). Chaque fois qu'il changeait la salle (les interviews pour des journaux et magazines étaient dans une autre pièce que ceux avec des chaînes TV), il passait devant moi (et les autres qui attendaient) sans jamais regarder personne (comme s'il faisait le blanc dans le cerveau, une sorte de récréation mentale) – on lui parlait, mais il ne parlait pas.
ShahRukh était venu à midi et était censé de partir à 18h pour son hôtel pour se changer puisqu'il lui fallait atteindre un dîner. A 18 h, il avait encore une interview avec une chaîne TV. Nous étions encore huit personnes à attendre ce qu'il se passera. Un quart d'heure plus tard, on le savait: ShahRukh avait demandé de nous faire venir tous ensemble pour que nous ne fussions pas venues en vain. Il avait effectué plus de six heures d'interviews, mais il était là, corps et esprit alerte, charmant, patient. La seule chose qui laissait apparaître les heures de travail fut sa voix qui était un peu rauque. On nous avait dit "5 minutes" quand nous nous sommes installés sur un canapé et un fauteuil. Le deuxième fauteuil dans le salon fut poussé vers nous par un ShahRukh très à l'aise dans cette ronde intime. Les 5 minutes étaient quinze minutes quand la voix d'une des responsables disait "dernière question". ShahRukh se tournait vers la voix. "Mr. Khan, vous êtes tenu de faire un discours lors du dîner et vous devez encore aller dans votre hôtel." la voix expliquait avec une urgence perceptible. Dois-je vraiment, ShahRukh demanda (en anglais). "Ben, c'est votre décision, finalement, mais vous l'aviez dit." Donc, je dois, il répondait comme un gamin qui doit faire quelque chose dont il n'a pas envie. Alors, dernière question, il disait en se retournant vers nous. C'étaient trois dernières questions, et après, il donnait à chacun l'autographe demandé (moi, j'ai obtenu trois pour trois amies). Il avait passé plus de vingt minutes avec nous…
Lors de ce ronde, je n'ai pas posé de question (il y avait assez d'autres qui le faisait), donc pas de raison d'adresser la parole à moi (je savais déjà que je ne pouvais pas écrire l'article commandé par le journal, donc pas besoin de prendre la parole). De nouveau, j'étais dans l'observation – c'était la première fois que je lui étais aussi proche pendant autant de temps, dans une atmosphère presque intime (la salle de la conférence de presse à Londres n'avait rien d'intime), ça aurait pu être chez lui, à Mannat. Je voyais qu'il se sentais bien avec nous puisque nous, on était des fans, il savait ça (les 'journos' travaillait pour 'Ishq', 'Indien-Magazin', 'Bollywoodforum.de'… je pense que moi, j'étais la seule travaillant pour un journal hors du monde du cinéma Hindi). Comme toujours, il se concentrait sur la personne avec laquelle il parlait mais nous étions tous dans son cercle d'aura – il avait les bras grand ouverts, il nous embrassait mentalement – une atmosphère incroyablement agréable. Quand il était parti, sa présence restait encore le moment où on se trouvait dans le salon…
Seul dans l'ascenseur, je craquais, les larmes coulaient. Attendre six heures en vain pour une interview qu'on aurait dû avoir, ne plus échanger de mot avec lui (sauf la demande pour les autographes et un chaleureux merci de les avoir obtenues), mais l'avoir vu et, en quelque sorte, senti pendant des heures, et très intensément les dernières vingt minutes… ce mélange de fatigue et déception et en même temps de bonheur et gratitude était trop pour mes nerfs (en plus, je n'avais pas dormi après être rentrée du film à cinq heures du matin). Je ne voulais que rentrer et m'enrouler dans mon lit…
Le lendemain, le soleil souriait et moi avec. Le sommeil avait balayé tout ce qui m'avait oppressé le soir avant. Et je savais que je reverrais ShahRukh.
Maintenant, quinze jours plus tard, l'euphorie de ces jours à Berlin est un souvenir agréable. Le reste, les tourments, ça fait partie du bonheur, n'est-ce pas?

Chère Clochette bienvenue au Club!

Quand je parle de Club c'est uniquement pour insister sur l'inévitable effet Shahrukh qui de près ou de loin nous touche toutes et tous un instant donné.

Ton récit me conforte dans l'idée que SRK est incontestablement un être à part pris en étau par des obligations bien evidemment inévitables qu'il arrive finalement à gérer en les prenant avec plus de légereté (sans négliger son travail biensur) et ce (certainement) grâce à l'enthousiasme de ses fans sans cesse présents pour lui prouver leur immuable amour.

Nous avons eu, tout comme toi, l'occasion (surtout ces derniers mois) d'aller souvent à sa rencontre et bien que, moi-même, prise sous le feu de cet amour que je ressens pour lui j'ai inconciemment et notamment depuis Berlin et Londres constaté avoir pris une sorte de "recul" qui m'a permis de découvrir un nouveau Shahrukh que je ne connais pas auparavant...

Je l'ai observé..lui mais pas seulement lui.
J'ai fixé mon attention sur son entourage, j'ai "taté les vibes" et celles de ceux gravitant autour de sa personne.

J'ai pu bien evidemment constater une impression "de main mise" sur sa personne, de pression extérieure (mais ça je pense qu'elle est inevitable quand on est une star de son envergure) et j'ai vraiment ce sentiment qu'il se jette presque à coeur et corps perdu dans cette foule de fans prête à prendre beaucoup mais aussi à lui donner beaucoup.

Il est prêt à tout nous offrir et ça se sent dans chacun de ses gestes, de ses regards, de ses attitudes envers nous.

Peut-être sommes nous finalement l'unique vérité, l'unique honneteté en parralèle à ce milieu, si superficiel, dans lequel il gravite.

Tu t'es retrouvée (volontairement) entre les 2 mondes, toi malgré tout, avec, à la fois, l'oeil de la fan et l'oeil de la professionnelle qui venait faire son interview et je sais par experience que c'est très hard à gérer.

Non pas que SRK ne t'ai pas reconnu en tant que fan ( puisqu'il savait qui tu était il t'as même parlé) mais il savait que tu venais en temps que pro et quoique tu ais pu l'approcher et qu'il te connaisse parfaitement il n'aurait, je pense, fait aucun geste particulier pour que tu fasses ton interview, en tout cas rien de plus qu'avec les autres et finalement ça c'est le plus dur à encaisser.

Tu as toujours combattu pour arriver à tes fins (je connais ton histoire: celle où tu as bataillé pour rencontrer SRK et lui remettre ton livre en mains propres...j'ai beaucoup d'admiration, tu es de ces femmes qui en ont...) et tu n'as pu obtenir ce pour lequel tu étais venu à Berlin.

Non pas que je veuille faire de la philosophie de bas étage mais je pense que finalement tu as gagné en tant que fan et pas eu ta chance en tant que pro mais finalement qu'est-ce qui t'importe réellement le plus Clochette?

Partager ces instants où tu as pu "ressentir" et vivre notre Shahrukh ou cette interview?

Je sais que ce n'est pas si simple, mais je pense aussi qu'on ne peux rarement gagner sur tous les plans surtout en un même instant.

La frustration ,le stress, cette proximité sont éprouvants, d'autant qu'inconciemment ou conciemment tu as du capter tout ce qu'endure un SRK face à ce genre de contraintes (conférence de Presse, interviews).

Quoi que tu puisses en penser je dis que c'est une grande expérience que tu as vécu et je suis convaincue que tu obtiendra ce que tu veux de Shahrukh.
Je te regarde évoluer, tu es quelqu'un de très spéciale et j'adore les personnes qui, comme toi, vont au bout de leurs décisions... Je t'ai même surnommée la baroudeuse quand je t'ai vu à Berlin.

Des femmes comme toi ce sont les gens qui viennent vers elles.

Shahrukh viendra vers toi foi d'Eliah.

Eliah, mon amie, je suis épatée par le fait que tu as si bien capté beaucoup de mes pensées concernant ma position envers ShahRukh. C'est vrai, je ne suis pas satisfaite d'apartenir à un monde bien défini, je voyage entre les deux en tant que fan, fan des fans et écrivaine/rechercheuse. Bien sûr que j'ai réfléchis sur ce qui m'est arrivée (ou pas arrivée) ce samedi à Berlin et je suis arrivée aux mêmes résultats que toi: ce n'était pas le temps, pas le moment prospice, je ne m'avais pas encore suffisemment définie dans mon rôle envers lui. Ce que la préparation pour mon interview reflétait: J'avais préparé des questions sur son travail, sur le sujet des ses fans, et j'avais pris sur moi à Berlin le manuscript allemand de mon livre et les premières vingt pages en anglais (sans pourtant savoir que j'aurai la possibilité d'un interview). Beaucoup pour dix minutes, mais j'étais assez relaxée... voulais laisser faire venir les choses et puis réagir. Quand on m'a dit "5 minutes", j'ai en quelques sorte paniqué et finalement, je me disais, je ne fais rien du tout, je laisse faire... eux là-haut, quelque part dans l'univers, ils sauraient ce qu'il serait le mieux pour moi. Donc, après les larmes, ce fut l'analyse, et je me disais ce que tu viens d'écrire. Je constate une certaine évolution en moi-même qui va parallèlement à mes rencontres avec ShahRukh. Je sais qu'il y a toujours un sens derrière la manière comment les choses se passent. Donc, un de nous deux n'était pas encore prêt - et ça n'a pas d'importance qui de nous deux. Ta dernière phrase, Eliah, me donne beaucoup de force et d'espoir! Merci!

Eliah, il n'y a pas encore de livre qu'il pourrait lire puisque ce que je venais de terminer, c'était ma version allemande. Je suis maintenant en train d'écrire ma version anglaise (les premières 20 pages sont déjà fait, mais pas encore corrigées). Je voudrais bien aussi écrire une version française, mais cela me prendrait trop de temps, c'est déjà un énorme boulot de le faire en anglais... Je veux publier le livre simultanément en allemand et anglais (et si je trouve quqn pour avoir le temps à m'aider avec une traduction française, aussi en français...

Najet, je suis tellement heureuse de te lire, de parcourir ces lignes qui me parlent d'une sagesse qui est bien la tienne et que j'aime beaucoup.
C'est drôle, j'avais hésité d'écrire de mon 'aventure de journaliste' et maintenant, je suis contente de l'avoir fait. Ce que toi, Najet, et toi, Eliah, ont écrit m'est très précieux et aide à relativiser les choses (j'adore écouter les autres, de savoir leurs pensées, on n'arrête jamais d'apprendre). C'est vrai, il me faut (au moins à moi, je suppose) un lieu ou je peux vivre mes trois rôles (le fan, le fan des fans et l'écrivaine) pour faire 'un bon travail'. A Berlin, j'avais pensé que je pourrais le faire mais peut-être qn a su que je faillirais puisque je pensais seulement à moi et pas à la situation dans laquelle 'ma contrepartie' se trouvait. C'est toujours encore une sorte de 'essayer et se tromper' mais je pense aussi, comme vous, que ça fait partie de l'apprentissage. Et il n'y a pas de limite d'âge pour apprendre.
Najet, je te remercie... et oui, je t'adore aussi!

Oh god ! Shahrukh coupe même chepa koi il est toujours BEAU Mashallah, et il le restera dans nos coeur et notre têtes heins les filles ^^

Bassima a écrit:

Oh god ! Shahrukh coupe même chepa koi il est toujours BEAU Mashallah, et il le restera dans nos coeur et notre têtes heins les filles ^^

Bilkul Bassima ji