figure emblématique pour shahrukh khan ,que j'ai envie d'etudier...rassurez vous je ne vous fait pas un cours d'histoire!
Gengis khan
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Gengis Khan, né
Temüjin, (né vers
1167 mort en
1227 à
QINGSHUI dans l'actuel
GANSU fut le premier empereur (khan)
mongol Il utilisa son génie politique et militaire pour unifier les tribus turques et mongoles de l'ASIE CENTRALEet ainsi fonder
son empir, le plus vaste de tous les temps. Il mena pour cela la conquête de la majeure partie de l'
Asie incluant la
chine, la
Russie,
la Perse et
le Moyen Orient et l'
Europe de l'est Son petit-fils,
kubilai khan fut le premier empereur de la
dynastie Yuan.
Les jeunes annéesL'enfance de Temüjin est peu connue, il est né aux alentours de
1162 dans la région du
khenti (région de
tchita)
dunlunbolgag (
delun boldag )sur l
’Onon en
Mongolie Initialement nommé
Temüjin ( ou Temudjin Uge)(du turco-mongol
temür,
tömör : fer, e «plus fin acier»), il est le fils aîné de
yesugei chef du clan Borjigin (ou Torrents) (Боржигин), et de
Hoelun de la tribu de Olkhunut. Selon les croyances mongoles, il serait né en tenant dans son poing un caillot de sang en forme d'
osselet,
signe de ses futurs exploits. A sa naissance les quarante clans mongols
sont déchirés par des guérillas intestines et divisés face à leurs
parents et rivaux, Turcs et Tatars.
Basées sur des légendes transmises par ses biographes, les jeunes
années du futur conquérant sont difficiles : à 9 ans il est fiancé à
Borte La Céruléenne,
du puissant clan des Khongirats et doit vivre auprès de sa belle
famille afin qu’il gagne par son travail, selon la coutume, le prix de
sa fiancée. La même année il aurait tué un ours à mains nues. Mais son
père meurt peu après, empoisonné dans la
steppe jaune lors d’un festin partagé avec les
Tatars.Temüjin étant alors trop jeune, le clan ne se soumet pas à lui et c’est
le clan des Tayitchiout ( Taïdjioutes) qui s’empare du pouvoir.
Emportant le bétail, ils abandonnent la veuve de Yesügei, avec toute sa
famille.
Il passe les années suivantes avec sa famille en suivant le mode de vie des
nomades. Capturé un jour par la tribu rivale des Taïdjioutes et par leur chef
Targutaï,
il réussit à s'échapper peu de temps après avec l'aide d'un de ses
ravisseurs. Pendant ces années de misère, Temüjin et son frère
Kassar tuent leur demi-frère
Bekter. Petit à petit, il reconstitue un patrimoine.
À 16 ans, il épouse Bortë, mais elle est enlevée par la tribu des
Merkit. Temüjin, avec l’appui de Toghril et de Djamuka, chef des
Djadjirat, écrase les Merkit sur les bords de la Buura, affluent de la
Selenga et délivre sa famille. Son premier fils
Jochi naît juste neuf mois après la libération de sa mère, entretenant des doutes quant à sa paternité.
À 19 ans, Temüjin, que les historiens nous dépeignent grand, sec et
musclé, est un farouche guerrier mais aussi un habile politicien, ce
qui va lui servir dans sa tentative d'unification des tribus mongoles.
Sa renommée grandit et de nombreux jeunes gens avides d'aventures le
rejoignent. Parmi eux,
Bortchou, Djelmé, Djebé la Flèche,
Subötai resteront toujours ses
quatre chiens féroces.
Union des tribus À cette période, les peuples nomades d'Asie centrale sont divisés et
facilement manipulés par les peuples sédentaires dirigés par de
puissants monarques, tels ceux de la
dynastie Jinau nord de la Chine. Allié des Chinois, le jeune Temüjin intervient
dans les luttes contre leurs adversaires, notamment les Tatars, le plus
puissant peuple mongol. La partie décisive se joue en
1201. Grâce à une tactique déconcertante, reprise des cavaliers
scythes(cavaliers légers, rapides, et mortellement habiles), Témudjin défait
tous ses ennemis, les Turcs Naïmans, les Tatars et surtout, à la
bataille des Soixante-Dix Manteaux, ses rivaux mongols, les Taïdjioutes.
Se forgeant de solides amitiés parmi les chefs des clans mongols,
Temüjin réussit, après une série de guerres et d'alliances mouvantes, à
se faire nommer en
1206, par le
khuriltai (conseil de chefs),
Tchingis Qaghan ( qui dignifie en turco-mongol : « Souverain Océanique », ou plutôt «souverain universel» (de
Tchingis = « océan » (cf.
mongol tengis et
turc deniz : mer, océan) et
Qaghan = « souverain », c’est-à-dire en
mongol moderne :
Ĉingis Xaan). Il sera désormais connu sous le nom de "Gengis Khan".
La
Mongolie est née.
Fondation de l'Empire MongolEn tant que nouvel empereur, il développe un nouveau système
militaire basé sur le système décimal, les armées étant divisées en
groupes de 10, 100, 1 000 et 10 000 (tumen). Les soldats prennent leurs
familles et chevaux avec eux, chaque cavalier disposant de trois ou
quatre chevaux. Il réforme également la discipline et la tactique.
article détaillé: ARMEE MONGOLELe conflit que Gengis entretient avec le
Xia Occidentaldepuis l'époque du khuriltai donne lieu à la première guerre de
conquête de l'empereur. Bien que laborieuse, cette conquête aboutit à
un accord de paix en
1209 et l'empereur du Xia Occidental reconnaît son infériorité.
Mais la cible principale de Gengis reste
Jin, tant pour des raisons de revanche que pour accaparer les richesses de la Chine du Nord. La guerre est déclarée en
1211. Les mêmes opérations que pour le Xia Occidental sont appliquées contre la
deuxième dynastie Jin des
Jurchen.Victorieux en campagne, les Mongols voient leurs assauts repoussés dans
la conquête des grandes villes. Appliquant sa proverbiale méthode de
logique et de détermination, Gengis se penche avec l'aide de ses
équipiers sur le problème des attaques de places fortifiées. Aidés par
des ingénieurs chinois, ils bâtissent progressivement les techniques
qui feront d'eux les plus redoutables meneurs de sièges de l'histoire
militaire.
En
1213,par ses victoires écrasantes en campagnes et ses quelques succès contre
des villes fortifiées, Gengis étend sa conquête du territoire de Jin
vers le sud jusqu'à la
grande muraille. Il avance ensuite avec trois armées au cœur du territoire, entre la Grande Muraille et le
Huang He. Après avoir dévasté le nord de la Chine et pris de nombreuses villes, il capture la capitale de Jin en
1215, Yanjing (qui deviendra plus tard
Pékin). L'empereur de Jin ne capitule pas mais se retranche à
Kaifeng. Ses successeurs y seront ensuite vaincus, mais pas avant
1234. Entre-temps,
Kuchlug, chef déchu des
Naiman fuit vers l'ouest et s'approprie l'état des
Kara-Khitans (
Liao), allié occidental de Gengis.
Voyant son armée amoindrie après dix années de campagnes contre le
Xia Occidental et Jin, Gengis n'envoie que deux tumen contre Kuchlug,
dirigés par un jeune général talentueux,
Djebé.Des agents mongols provoquent une révolte civile, permettant à Djebé
d'investir le pays. Kuchlug, dont l'armée est anéantie à l'ouest de
Kachgar, est capturé puis exécuté. En
1218, l'empire mongol s'étend à l'ouest jusqu'au
lac Balkhach et atteint le voisinage de
Khwarizm, un état musulman allant de la
mer Caspienne à l'ouest jusqu'au
golfe Persique et à la
mer d'Arabie au sud.
En
1218, Gengis envoie des émissaires dans une province orientale du
Khwarezm afin de parlementer avec le gouverneur. Ceux-ci sont exécutés. Gengis réplique en envoyant une force de 200 000 hommes. En
1220, le Khwarezm est vaincu.