- srksalmasrk a écrit:
- Domji , tu pourrais traduire stp du debut jusqu'a 3min30 ?? pleaaaaaaas !!
Dont acte ...Quand l'interview commence, SRK parle de la douleur.
Selon lui, la douleur est proportionnelle à la bonté. Et il y a peu de personnes vraiment mauvaises, « on peut les compter sur les doigts »
Il ne souffre pas trop, comme si Dieu envoyait une souffrance et lui disait, comme le rapportent les anciens : « Voilà, tu as été bon, ça pourrait être pire »
Et puis il y a les anti-douleurs, et il en a pas mal
Il commence à être habitué, ça fait partie de sa vie depuis quelques années
Petit à petit, il est de plus en plus ‘bionic’- « moins je serai fait de chair et de sang, plus je durerai »
Mais c’est positif (l’opération) car ça va lui laisser le temps de travailler sur le script qu’il devait tourner en juin-juillet, sur « My name is Khan », sur « Ra 1 », sur « Happy New Year » et sur « Don 2 ». Mahesh Bhatt, qui lui avait demandé d'écrire un livre, lui a dit de profiter de cette occasion pour le finir.
Sur la façon dont ses enfants appréhendent sa douleur : comme ils pensent que c’est un héros, et pas parce qu’il est star de cinéma, lui espère que c’est une douleur qu’il prend sur lui pour qu’ils aillent bien, et ils ont tellement foi, la foi et l’amour aveugles des enfants, qui est si remarquablement beau, pour eux, tout ira bien, ils n’ont aucun doute, ce n’est pas comme nous, les adultes qui avons tout un tas de doutes qui traversent notre esprit, pour eux, ils ont confiance, tout ira bien et je pourrai sauter à nouveau avec eux, comme mon fils qui me dit :« Après l’opération, tu pourras me battre? Tu trouves des excuses mais si on se bat, c’est moi qui gagne ». Ils ont dit qu’ils viendraient me voir à l’hôpital et c’est l’une des raisons pour lesquelles je me ferai opérer en Inde, car la dernière fois je suis resté un mois sans les voir et ils m’ont manqué. Là ils sont assez grands pour me voir moins en forme. Ils peuvent comprendre.
(Voilà pour la partie !! Je résume la fin :)L’interview continue sur ses amis, les plus anciens, il n’en a pas beaucoup, seulement 4 (Bikash, Raman, Ashok et Vivek), qui n’attendent rien l’un de l’autre, qu’il ne voit ni n’appelle régulièrement mais avec lesquels il reprend toujours là où ils s’étaient arrêtés, que si ils n'ont pas le temps de se voir, ce n’est pas un problème, la prochaine fois. Et c’est ça les amis : ils ne parasitent pas votre espace tout en le remplissant d’amour. A l’école, il y avait un dicton dans le bureau du Principal : « Compte ta vie en sourires et non en larmes, compte ton âge en amis non en années. » et donc j’ai 4 ans, j’ai 4 amis et ici à Bombay, j’ai Karan, Adi, Aziz, Juhi, le frère de Chunky, ce sont mes amis. »
Une anecdote : « Quand j’étais petit, lors d’une course, (je courais très vite), j’ai réalisé que mon meilleur ami était derrière moi, alors je me suis arrêté et l’ai attendu, sans penser que j’allais perdre la course et ensuite j’ai continué et fini 7e ou 10e . Et une autre fois, mon fils avait 4 ans, j’étais allé le voir courir et, comme tous les pères, je le stimulais un peu pour qu'il court vite et gagne. A un moment, il s’est arrêté, et attendu ce petit gamin, a pris sa main et est arrivé dernier. Et j’avais oublié mon histoire, quand je lui ai demandé, il m’a dit : « Papa, c’est mon ami. »
Sur le fait d’avoir retrouvé Kajol pour ‘My Name Is Khan’, c’est pareil : ils ont repris là où ils s’étaient arrêtés. Et ils ont tous les deux particulièrement apprécié la partie où ils ont les costumes noirs et les lunettes noires façon ‘Matrix’ ou ‘Men In Black’, plus encore que la scène qu’ils tournaient.